27 septembre 2015

Roc Cadurcien

Un Roc sinon rien.. vite !
Tant que je suis chaud, je vous mets un petit retour de manivelles qui mérite un bon cinq étoiles, bien brillantes.
Mode traqueur de singles activé.

► Strava - Roc Cadurcien


Vous faisiez quoi ce jour ?
Non parce que c'est pas pensable il me semble, que des vététistes aient pu rester au pieu ce matin, où qu'ils soient allés faire de la route (bouh 😀!), et encore moins l'excuse de j'ai la belle famille qui vient déjeuner.
Bon ceux qui sont aller rouler ailleurs dans d'autres randos ou raids fameux, admettons.
Mais il y a des jours comme ça, il faut être au bon endroit, au meilleur des moments.

Et pour savoir quels sont ces jours là, c'est une évidence quand vous associez deux petits mots seulement. Vtt et Lot.
Ben oui, c'est plus clair comme ça !

Ça sent bon l'automne !

Le Roc Cadurcien arrive bien pour occuper une bonne partie de la journée.
Cette année la date change, et passe de début juillet habituellement à fin septembre, ce qui arrange encore le calendrier. Et puis le simple fait de revenir pédaler proche de la Vallée du Lot, c'est comme une espèce d'attraction terrestre. En gros, t'as la certitude de te régaler en déroulant des km de monotraces en tout genre.

Y a du monde au départ dans le petit patelin de Bégoux. Le soleil a pas encore dégagé toute la brume et la fraîcheur de l'automne, mais la journée sera au top côté météo.
On y débarque à 9 du club. 
Martine, Jacques, JeanBa, Jean Luc, Guillaume, Christophe, Martine, Alain, et mézigue.
Salut les copains, par ici le petit dèj, signez le formulaire, plaquez la pancarte sur le cintre, et faites vos jeux concernant le parcours.

45 ou 60 ?  Sinon le 25, me parait pas mal aussi pour faire léger côté vtt et passer plus de temps au bar buffet de la fin ensuite.

Parmi les clubs banlieusards de Toulouse, on retrouve le TOAC, le CPRS en surnombre qui tente tant bien que mal de réunir toute la troupe pour la photo.

Le 31 en surnombre

8h25 on s'échappe du village, vers une petite bosse moelleuse au début juste au-dessus des vignes, dans un très bon sentier. La délicatesse ne dure pas tout le long, et on a quelques passages du genre un peu raides déjà.
Le parcours s'oriente vers le Mont-Saint-Cyr sur la première partie.
Monotraces en pagaille un peu partout. Ça alterne sur les petits murets de pierre, dans les sous-bois, en parcourant les friches et les plaines sur les hauteurs, des sentiers en légers dévers, d'autres qui se torsadent entre les genièvres.

Super temps sur les brumes

Les brumes matinales disparaissent dès la première bosse et le soleil envahit la campagne.
Terrain impeccablement sec, avec à peine un petit peu d'humidité résiduelle sur la première heure. Juste ce qu'il faut pour engager quelques travers du train arrière et s'amuser passionnément.

La première petite descente est idéale pour se plonger dans l'ambiance, avant de remonter bien sur.
Un fond de combe qui s'élève ensuite pour rejoindre le plateau. Par là-haut un peu de roulant en monotrace et la descente deux envoie du plaisir en grand. Sensass !

On remonte par un bon single et une belle gravière en peu avant la fin. Costaud le passage à la pédale !
Des bosses jamais bien longues, c'est top à enchaîner tout ça.

Freddy aux avants postes

Tout le dénivelé positif se fait sur la selle, et dès qu'on lâche une difficulté, on peut respirer sur quelques très bonnes sentes un peu roulantes et relativement planes ou en relance.
Sur la plaine qui suit, un petit arrêt bref pour se dessaper. Ça chauffe maintenant, et il y a une couche de trop qu'il faut virer.
En repartant, mon pneu arrière devient hyper souple et se décontracte dangereusement. Y manque pas d'air d'habitude, mais là ça devient critique. Allons bon rebelote, comme à Cours y a quinze jours.
Un arrêt rapide, un grand coup de pompe, le préventif gicle, faut repartir. Ça tiendra dix minutes pas trop mal en perdant pas mal de pression, mais après un deuxième arrêt gonflage, plus aucun soucis ensuite. Vive le tubeless et le yaourt liquide !


Bon on en est là, vers le km dix ou douze. Premier croisement du parcours pour aller faire une très bonne descente. Rapide et sinueuse, on est toujours dans de la super trace.

Pour remonter, on fait le petit train dans les sentiers. C'est par là que je m'aperçois que mon compteur s'est arrêté, certainement à l'insu de mon plein gré. Il me manquera trois bornes en tout.

Le Mont-Saint-Cyr accueille le ravito un. Km 17.
Profitez du point de vue avec toute la ville de Cahors qui s'étale cent cinquante mètres plus bas. Splendide ! Excellent emplacement.

Cahors - Depuis le Mont Saint Cyr


Ambiance de fête autour des rillettes 😍 et des autres petits délices habituels.
On cause un peu, on déconne, on mange bien, on se régale en vtt, on apprécie le visuel, c'est quand même top le vtt !
Je vous disais au début qu'il fallait être là aujourd'hui.

C'est reparti. Par ici la bonne trace.
On s'en va gaiement dérouler un super sentier qui contourne la plaine.
Trois km très joueurs, un peu en grimpette. Dans le genre bonnard, c'est du tout bon.


Chui au régime en fait

Depuis le début, on est en roulage groupé avec Christophe, JeanBa, Freddy aussi, et puis le jeune Alexandre de Fumel qui roule sur un même rythme et fera la ballade avec nous.

Descente sur Cahors. Huhuhu, là c'est top ! Excellente tout le long bien sûr, très ludique comme peuvent l'être les descentes du coin. On s'amuse en permanence.

Un cordon de route en bas, c'est bon pour faire une pause.
Et puis faut se remettre les jambes au charbon dans la bosse suivante. Un gros km pas tendre, mais ça passe pas trop mal.
Une fois gravi, on repart dans une descente sans temps mort. 

Paddy et son collègue

Cette trace ouverte il y a quelques années, est maintenant bien visible. Et faut y voir clair parce que ça finit très fort. Depuis là-haut on se régale partout.
Je vous passe vite le bonheur en grand sur les petits pièges naturels comme les arbres tendus qui poussent en travers et débordent sur la trace, les sauts sur les vieilles murettes à traverser, ou les petites courbes empierrées qui t'invitent vers l'extérieur pour bouffer de l'épineux.


Et donc après ce bonheur en long et en large, on plonge dans le grand final droit dans la pente hyper tendue et raide. Du chaud bouillant !
Les deux freins bloqués, le cul sur le boudin arrière, ça descend quand même. Et faut pas manquer de virer un peu dans la petite courbe juste à la fin. Je m'en rappelle bien puisque j'ai pas tourné moi 😀. Mais les arbustes sont bien placés sur le coup pour te retenir. Excellente descente, quel régal !

Allez faut regrimper déjà. Petit couloir, mi sentier, mi piste, mi chemin, misère ça monte.
En haut, on poursuit avec un concentré de sentiers variés pour traverser les plateaux.
De l'un on saute sur l'autre, et de l'autre on rebondit sur le suivant, pour un régal continu.

Dans cette portion, une côte a dû marquer les esprits et les guibolles. Une du genre rigide qui se laisse pas faire.

Après une descente de plus à tortiller sans cesse, on retrouve un chemin en bas de combe.
Au début tout est ok, ça monte gentil, puis ça commence à s'incliner, et à peine plus loin on aperçoit la dernière rampe.
Là c'est au jarret que ça se passe. Pourcentage énorme, le chemin est bien raviné, faut choisir la meilleure trajectoire sur le côté des ornières, la roue s'enfonce un peu dans la caillasse moelleuse parfois et la pente est de plus en plus sévère à mesure que ça grimpe.
Pour finir, quand t'es bien naze quasiment en haut, une dernière couche de caillasse furtive sous les roues vient te pourrir la vie sur les cinquante derniers mètres. 
Pourquoi tant de violence ?!


Les sourires crispés de la bosse deviennent de larges bananes dès qu'on se retrouve un peu plus loin au pied (enfin en haut) de la super descente qui pique franchement vers en bas, pour rejoindre l'autoroute.
Splendide et top encore. Très véloce avec ses enchaînements de petites courbes rapide entre les chênes, ça file vite et sur la fin, quelques petites marches terminent en beauté cette longue perte d'altitude. Un Roc au top.

Une remontée pas des plus calmes vers le hameau des Ramonets. Le sentier grimpant est gaillard. Il me semble que c'est celui-là qui a une énorme racine à franchir, juste avant de déboucher en haut.
La route qui suit est la bienvenue. Ça monte encore mais on le sent pas.



Une descente à suivre. Toujours fun et ludique, pas possible de s'ennuyer par ici.
Ça plonge sur la combe du Tréboulou.

Pour continuer, on longe l'autoroute à la recherche d'un passage qui nous permette de traverser sans ennui. Ça tombe bien, ils ont creusé un tunnel sous le pont un peu plus loin. C'est bien foutu quand même la trace !

De l'autre côté, qu'est qu'on a pile en face ? Une bosse oui.
Un chemin grimpant qui te plante pas trop, avec un ou deux virages sur le haut. 
Tiens on rejoint Martine et Alain qui jouent à cache cache depuis le début.
Sans trop de répit, hop on redescend et hop on remonte. Ouais faut suivre, je m'arrête pas !
Passé la côtelette, on s'engouffre dans la descente sur les deux Igues D'Aujols.

Une des Igues D'Aujols

Monotrace extra qui nous dépose sur chacun de ces immenses cratères naturels.
Je fais dans l'ultra depuis une semaine, donc celle là est encore ultra joueuse avec un contour délicieux qui s'entortille entre les arbres.
Et tout en bas pour finir, le traceur a décidément tout bon encore, en mettant le ravito deux au bord de la deuxième Igue. Quand on est bon !

38 km, pour arriver autour de cette bonne table champêtre, bien garnie et accueillante. Et avec ce décor profond et immense juste derrière, c'est encore meilleur.
La tendance est à la charcuterie locale et fromage pour moi, pour plein d'autres aussi d'ailleurs.

On prend du bon temps sous le soleil bien chaud maintenant. Y pas mal de monde, ça 
converse entre deux chips et un gorgeon de coca.
Avant de partir faut faire le plein des outres dorsales.


A venir, la bifurcation des parcours un peu plus bas. Tout droit une bouclette supplémentaire pour ceux qui font le 60, ou à gauche un retour plus direct pour le 45.
On file droit sur le chemin qui continue de descendre.
Sortie sur route et quasi de suite à droite, un talus d'enfer sur cinquante mètres. Oh bordel, celui-là il surprend. Portage poussage carrément, ça calme les ardeurs.
On trime un peu dans la bosse, ça redescend à peine et on remet derrière une couche vers le haut. Y sont joueurs avec les bosselettes pugnaces. Bon j'aime bien ça !

Un bout de bitume descendant pour souffler jusqu'au village de Galessie, et on monte un peu entre les maisonnettes. A la sortie une piste lisse et propre, avant de bosser dans un très bon sentier pour gagner les hauteurs où la trace devient roulante un bon moment avant de perdre un peu de dénivelé après Les Mazuts.
Y a d'la joie, quand ça descend !

Et quand c'est finit, faut aller chercher la suivante. Une de mieux à se mettre dans les jambes. C'est pas trop dur, mais ça compte quand même.
On suit le balisage impec depuis le début. Des panneaux de couleur identifiant les différentes boucles, des indications de passage et de sens, de la rubalise et des tags de couleur au sol. Avec ça on se plante pas dans le décor et c'est limpide.


Le chemin suivant bifurque tout d'un coup à gauche. Un top monotrace qui nous promène autour d'une belle gariotte à contourner. Superbe endroit !
Et une descente de mieux, une ! Hoho, vas y qu'on se déchaine dans les enfilades rapides. Ça abuse dans le plaisir encore.
On passe proche d'une Igue, parfois on croise quelques chasseurs, et d'ailleurs la chasse aux sentiers est ouverte en septembre par ici, comme ce beau monotrace qui file encore sensass jusqu'en bas et termine sa course dans un champ d'herbe plus ou moins fauché. Rendement moisi là dedans.  


Cinq tours de manivelles sur une route et le chemin suivant se remet à la grimpette progressivement, avant de devenir plus sévère ensuite. La bosse lotoise est pas commode à force. Mais c'est pas grave on fait avec.
Un peu de plat maintenant, c'est toujours bon à prendre avant d'entamer la petite descente suivante.
Quel pied encore !
On pique fort sur la fin de la boucle avec une petite merveille tout en glisse sur le final.
On se fait déposer sur le ravito de toute à l'heure au bord de l'Igue.
Excellent !

On refait une bonne pause atour de la table. Il y a du monde maintenant par ici.

Quasiment 50 km à ce stade là du circuit.
Il en reste une petite douzaine selon les infos récoltées sur le ravito.
On s'y remet tranquillou.

A gauche un peu plus loin on va encore fréquenter du sentier sauvage pendant un bon km facile et hyper joueur entre les arbres.
Une bosse de mieux les amis. C'est bon ça, mais ça use. Tant qu'on reste sur un chemin, ça va les bosses, mais ça va pas durer comme ça, dès qu'on enquille le sentier un poil plus haut. Là de suite ça cause plus, et ça tamponne comme dirait Eric.
A mi bosse, le sentier faiblit pas jusqu'en haut. On y retrouve le Dide et Félix qui finissent la grimpette gaillarde.

Faut bosser à Cahors !!

Pour redescendre vers l'autoroute, on se fait pas prier et ça avance sans retenue. Très bon profil descendant, bien rapide. Le plaisir se prolonge un peu partout.

En bas, on est sur un dégagement en contrebas de la voie rapide.
Faut passer dans un des deux boyaux bien sombre. Sympa ce passage insolite.
A la sortie, un sente furtive le long de la route, et enfin la dernière bosse qui nous invite.
Un bon talus d'entrée sur le chemin qui accède à la prairie un peu plus haut. Ça chauffe par là avec le soleil qui te rôti un peu sur ces parties à découvert.


On traverse le pré peinard. En face au fond, un gros portage droit dans la pente. Cool !
Arf ! Pas de bol, c'est pas par là, mais plutôt à gauche au bout du champ.
Superbe montée pour finir. 
Le début sous les arbres couverts de mousse est climatisé. Une fraîcheur bienvenue. 
Ça monte pas bien fort la plupart du temps et c'est superbe. Le final est plus pentu, et ça dure un bon moment quand même.

On bascule peu après dans une ultime descente fameuse, à l'image du parcours, on s'amuse sans cesse.
Il nous reste ensuite un petit sentier pour rejoindre la route en bord de vigne. L'arrivée est un km plus loin.

Parcours splendide. Un Roc qui te régale d'un bout à l'autre.
60 km et 2000 m de D+ bien tassé. 5h15 de ride excellent. On s'est arrêté environ 20/25 minutes.
Sur l'aire d'arrivée, un ravito repas pour bien finir la promenade.

Oh, salut Sophie 😊

Ce Roc 2015 est un grand cru encore.
Circuit super bien fait. Bravo au traceur, mention top parcours. 
C'est pas le tout d'avoir une grosse tripotée de singles tous aussi excellents les uns que les autres, mais il faut ensuite arranger la partition, et là c'est du Mozart quasiment. 

Ce côté de Cahors est le meilleur pour ce Roc Cadurcien qui se renouvelle chaque année en changeant le départ. 
Les parcours sont gaillards, mais pas des plus durs dans le coin, et en amusement perpétuel.
On a tout eu pour être heureux aujourd'hui, avec un best of de sentiers pour se gaver de bonheur.
Soleil et grand ciel bleu ajoutent un max de plaisir, à cette tournée des Igues.

Ça tire pas la tronche au vtt !!

Bravo et grand merci à Cahors Cyclisme pour cette organisation qui termine parfaitement une super trilogie de Roc.
Le Lot nous emmène comme à chaque fois, sur des parcours de folie. Mais on s’en lasse pas.

Bon voilà ça m'a encore plu ce Roc, comme d'hab.
A la prochaine vite.



La plaque 3 Rocs





Le plat de résistance





Gariotte lotoise




La Cité Cadurcienne




Je suis Martine 😃




Freddy82 - Souvent dans  le 46




Seb en Fat & Alex




Un pont unique au monde




Solide comme un Roc




Jérôme - Un Lot et Garonnais... dans le Lot. Surprenant 😊! Yeti47




Alain - Club Santa Cruz




Traqueurs de singles




JeanBa - Faut arrêter le Cognac




Jérôme et Seb





Ravito 2




La photo suivante a été censurée 😃




Option coca





Jean Luc & Jacques







Cyril qui rêve de sentiers lotois, Sophie, Christian, et qui a la banane ?





Final à table





Olivier - JeanBa - Romain




Ça épuise un bon Roc




Couleurs CPRS







12 commentaires:

  1. oh Yves tu es vraiment le plus rapide partout, sur le vélo et pour rédiger des CR!
    merci pour ce topo très complet, je suis vert de ne pas avoir pu venir!!! ca avait l'air vraiment top encore une fois
    mes collègues de St Céré y étaient aussi mais j'ai appris que Lionel de Beaulieu avait fait une chute assez grave et avait fini aux urgences, je ne n'ai pas de nouvelles et m'inquiéte un peu car il ne répond pas sur son portable... son vélo a été récupéré par le club de cahors d'aprés ce que je sais...

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    1. Salut Denis
      Un super Roc au dessus de Cahors. Depuis 2012, il me semble qu'ils avaient plus tracé dans ce coin côté Mont Saint Cyr. C'est le meilleur ce côté.

      J'ai pas eu d’échos concernant une blessure de quelqu'un. En espérant que out aille pour le mieux.
      A++

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  2. Bravo Yves pour ce beau et rapide CR à chaud !
    je vois que tu cherches un plan VTT pour le 4 oct: il y a la Transfigeacoise (le Lot! toujours le lot!) organisée par le CAF

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    1. Salut Gaël
      Oui il y a Figeac qui est très bon, J'avais pu découvrir ça en 2011 et depuis j'ai pas pu y revenir.
      Y a la Silex aussi en Dordogne.
      Mais tout ça c'est un peu trop loin, il faut la journée, et je vais faire léger le dimanche 4.
      Le vendredi suivant je fais le Roc d'Azur Marathon, je vais en garder sous la pédale :-).

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    2. le roc marathon c'est du lourd aussi! et il y a du beau monde si tu veux appuyer fort sur les pédales!
      on attend ton cr
      ps: c'est bon j'ai eu des news du blessé: cotes cassées, sinon tout va bien! ouf!

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  3. du lourd!! .encore une journée géniale. et le cr aux petits oignons. une info. Vincent de st céré avec qui j ai mangé en compagnie de gael à Lanzac à le record de la distance suite à plusieurs erreurs de parcours .70?? 80?? 90?? une bonne centaine. énorme!!! sincère félicitations même si c est involontaire .Alex envoi du lourd en descente et pas que là et le tout avec humilité .la classe .

    A++

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  4. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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    1. salut freddy! vincent de st céré? de cahors plutot, non? je ne connais pas de vincent à st céré

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  5. salut Yves , le traceur te remercie pour ce CR sympathique ..

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    1. Salut Franck
      Ben écoute c'est surtout toi qu'il faut remercier, vu comment on s'est amusé sur cette merveille d'un bout à l'autre :-).
      A la prochaine avec grand plaisir.

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  6. Salut,
    Nous nous sommes déjà croisés au Raid des chapelles alors que tu étais avec Levens à réparer une crevaison.
    Je t'ai aperçu à Cahors, tu pourras te voir à la fin de cette video http://www.zapiks.fr/roc-cadurcien.html
    Une très bonne rando préparé par notre ami Franck.
    Bonne continuation.

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    1. Salut Shupa
      Merci pour le lien vidéo, je le mets avec mon CR.
      Et je mets ainsi un visage sur un pseudo que je voyais depuis longtemps ici ou là sur les forums. Et Franck le traceur à la fin que je connaissais pas.

      Les Chapelles oui je me souviens. Un autre top raid dans les PO !!

      Au plaisir d'une rencontre

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