13 octobre 2013

Roc d'Azur

De retour du Roc d'Azur, faut que je pianote quelques lignes sur ce superbe weekend à rallonge.

J'ai participé à mon premier en 96 (à Ramatuelle à l'époque) et ensuite j'en ai enchaîné un paquet jusqu'en 2002.
Puis j'ai fait le break jusqu'en 2012, où je l'ai redécouvert dix ans après, avec de nouveau un immense plaisir.


► Srava - Roc d'Azur Marathon

La machine a encore grossit pour devenir gigantesque maintenant. Ça fait trente ans que ça dure l'histoire.
C'est une excellente fête de fin de saison, qui réunit beaucoup de monde autour du vtt.

Je suppose que la plupart des vététistes y vont en groupe. C'est de loin la meilleure formule et l'occasion de passer un weekend extra entres potes.
Au club, on descend à une quinzaine sur Fréjus. Arrivé le jeudi pour la plupart, on a le temps de s'installer au camping et de faire un tour de chauffe au salon, pour voir du monde, zieuter du beau matos, saluer des copains et respirer déjà l'ambiance qui se dégage, sur le terrain de cette ancienne base militaire.

Beaucoup d'animations sur les différents sites, des stands d'expositions à l'extérieur et à l'intérieur, vous avez de quoi passer plusieurs heures et même une journée pourquoi pas à déambuler dans ce grand parc attractif.
Heureusement qu'il y a aussi de quoi se désaltérer...
Et bien sûr, du matos partout pour se faire plaisir dans le futur, et de quoi faire faire une attaque à son banquier si on devait se lâcher sur certains de ces petits bijoux.

Avant de partir vers le campement, on passe chercher le pack inscription pour le lendemain.
Les soirées au restau sont bienvenues pour passer de délicieux moments.
Le jeudi soir on fait sérieux car le lendemain on va devoir mouliner un bon moments sur les massifs du coin.


Vendredi 11 octobre, pour nous c'est le Roc Marathon.
C'est peut-être pas l'épreuve mythique de l’événement, mais pour moi c'est la meilleure.
De par la distance déjà, et surtout moins de monde aussi quand même.
Un point positif cette année, l'organisation a attribué les dossards non plus en fonction de la date d'inscription, mais par rapport au classement de l'année passée ou de résultats acquis durant l'année. 
Du coup on se retrouve trois en première ligne derrière les furieux qu'on ne verra que 50 mètres au départ et qui finiront assez tôt pour se doucher et arriver à l'heure, à l'apéro avant midi.
Le programme est connu, 83 km pour 2700 m de D+ annoncé. Les chiffres n'étant pas toujours exact, en 2012 pour la même distance annoncée, à l'arrivée j'avais 77 km seulement pour seulement 2100 m de D+.

8h00, après s'être bien pelé au vent pendant la demi-heure d'attente, pan c'est parti.
Rassurez vous, quand ça démarre vous n'avez plus le temps de sentir le froid.
La traversée de la prairie est rapide, avant de s'emballer dans les chemins pour sortir de la base, passer la rivière et débouler sur la partie roulante. À peine une minute de bouchon sous la route et après vous avez le champ libre pour faire votre place.


Les cinq ou six premiers km sont à bloc, jusqu'à la première montée. Là déjà chacun commence à prendre son rythme et on peut commencer à respirer un peu mieux.
J'ai fait le départ au max comme d'habitude, mais je trouve que ça va plus vite sur le début cette année. Le niveau doit être meilleur certainement, en tous cas je me fais pas mal doubler sur ces premières parties très roulantes.
Dans la bosse, y a du monde mais ça monte bien sur le vtt. Personne ne bouchonne et tout le monde peut passer.
Dans la descente, on n'est pas seul non plus. Et là faut doubler un paquet si on peut. La dernière partie plus technique et un peu plus large permet de passer en vitesse.
Ça permet aussi aux copains de venir vous encourager dans cette partie.

En bas, petit sentier pour ressortir plus loin sous la route, au bord du ruisseau du Fournel.
Y a un premier ravito il me semble, je sais plus mais je zappe, pas le temps.
Il faut maintenant galoper vers la bosse de la Flûte  Aaargh ! Bordel, elle fait toujours mal aux jambes celle-là !
Plusieurs paliers bien raidasses à franchir. Développement tout à gauche.
En haut la descente est super, tout en single tortueux. On roule avec des gars de son niveau généralement et ça bouchonne pas trop. De plus on arrive à doubler en demandant le passage et la plupart des gars te facilitent le mouvement.

Tiens au passage, faut que je fasse une petite parenthèse sur les deux dernières éditions.
L'an dernier, j'ai finit la deuxième partie du parcours et surtout la fin avec une nana dont j'ai oublié le nom, mais qui pédalait volontaire.
Et cette année, depuis le début je me fais déposer dans les bosses par une autre nana, plutôt mignonette et sexy encore. Et dans chaque descente, hop je la repasse. Ça a duré trois ou quatre fois tout le long du raid. Je saurais en fait à l'arrivée que c'est la championne de Hongrie, Eszter Dosa. Elle avance mieux sur les parties montantes, et dans le négatif en descente je reviens vite dessus et je prends de l'avance jusqu'au prochain épisode. Bon voilà, c'est une petite anecdote de roulage plutôt amusante avec le recul.

Bon mais on s'amuse pas quand même au Roc Marathon. Dans une course on n'est pas là pour conter fleurette.
Le parcours que je pensais identique à l'an dernier est en fait plus long et plus rude cette fois. Mais il est aussi meilleur, et plus technique je trouve. Encore un bon point.
Ça fait 25 bornes environ qu'on est parti, et les sensations de roulage deviennent meilleure.
La température est idéale avec le grand bleu et le soleil qui chauffe juste ce qu'il faut.
La veille au soir, un énorme orage à arrosé un peu le parcours et le grip est très bon sur un terrain plutôt souple.


Une fois terminé la descente de la Flûte, au lieu de tirer droit jusqu'à Roquebrune, on s'en remet une couche vers le haut. Une bosse de plus un peu piquante, et une belle descente derrière.
Roquebrune km 27. On repart sur du sentier technique avec quelques petits portages. Terrain accidenté typique du massif des Maures, c'est super à rouler. On doit croiser par là le ravito deux. Je prends juste un verre ou deux de bleu, la boisson Powerade. Je sais pas si c'est efficace, mais ça désaltère et ça fait quelques secondes bien employées.

Quelques pistes pour suivre la trace et les balises sur une partie du GR51, qui grimpe vers le col de Valdingarde.
Le balisage est bon au passage de chaque changement de direction. Des panneaux violets Roc Marathon et beaucoup de rubalise pour confirmer. Rien à signaler de ce côté-là.

Avant d'arriver au col, bien avant d'ailleurs, sur un croisement du circuit, on pique à gauche pour une petite boucle sensass dans la première partie et on a droit à un petit bijou de descente.
Une trace qui dévale toute en virolos extra joueurs. Quelques petites marches au début et ensuite c'est grisant dans les enfilades. Les quelques gars qu'on doit doubler se serrent direct et y a plus qu'à laisser aller et en prendre une super dose. Splendide ! La meilleure de toute probablement.
Ensuite, ben faut baisser la tête un peu et en baver maintenant. Sept ou huit bornes pour rejoindre Valdingarde, t'as le temps de manger et de boire. Montée sur piste la plupart du temps.
La madame Dosa, elle m'a encore fait des misères dans la fin de la montée.

En haut, un arrêt très bref au ravito pour remettre du liquide. On est un peu après la mi course, il reste 35 bornes.
C'est reparti plein gaz sur la route, je pense que c'est sur cette partie bitume en descente qu'on atteint la vitesse max de 46 km/h pour moi. C'est pas utile de chercher à aller vite ici, autant récupérer un peu.
C'est à partir de là je crois qu'on commence à voir la mer.
Jusqu'ici de toute façon y a de quoi admirer les paysages provençaux, et faire des photos pour peu qu'on prenne le temps. J'essaie de lever au max le nez, mais je suis pas dans la contemplation absolue de ces beaux sites sauvages.

La suite je m'en souviens, puisque faite l'an dernier. Une super descente rapide et technique et qui plus est, a été allongé encore cette année. Cinq km à se régaler jusqu'en bas. Y pas de pièges ou de difficultés particulièrement épaisses, c'est sensass.
Je me suis laissé allé à un peu trop d'euphorie dans celle là et j'ai du sauter une marche un peu par surprise et me rétablir aussi un peu par surprise. Bilan de l'histoire, un peu d'air échappé sur le pneu arrière sur la réception hasardeuse. Le semi rigide c'est pas bon sur les sauts. Mais sinon rien, et ça peut continuer de plus belle.

Il me semble que c'est dans la dernière partie bien accidentée qu'un gars de l'organisation nous prévient qu'il y a trois cents mètres très dangereux à venir.
On ne perçoit bien évidement pas le danger de la même façon selon les individus et j'ai toujours tendance à penser que les organisateurs en général mettent parfois trop l'accent sur les dangers des parcours.
Chaque concurrent, surtout sur ce genre d'épreuve qui reste plutôt difficile physiquement en mode course, est très certainement capable de voir le danger et de l'apprécier selon sa pratique. Et même s'il est clair que sur la sur la masse de vététistes, il y en a vraiment qui ne sont pas habitué à faire de telles descentes, ça n'a rien d'insurmontable et ça reste plutôt faciles les dévalades.
Tiens au fait, au passage de la descente, je me refait tranquillement le dédoublement avec la madame Dosa. Je parle pas le hongrois, mais en même temps j'ai pas besoin de lui demander le passage, elle laisse la place instantanément.

En bas de cette très bonne et longue partie descendante, on retombe sur le ruisseau du Fournel.
Il va falloir remonter tout ça, sur des sentiers et des pistes. Et aussi quelques petits portages rugueux.
Il a fallu que je m'arrête deux minutes pour regonfler car j'ai plus assez de pression en roulant. J'en profite pour un petit graissage de chaîne bienvenu. C'est la que je m'aperçoit d'une bonne pinfle sur la jante arrière où l'air s'est échappé plus haut. Ça tiendra bien mais la jante fait la gueule maintenant.


Au plus haut la trace replonge rapidement pour fermer une petite boucle habituelle et revenir vers la Vallon du Bougnon et du petit col qui suivra.
Une approche toujours superbe et agréable dans ces petits sentiers.
La montée du Bougnon, au milieu de la foule est un passage obligé et fort sympathique à vivre avec les encouragements de tous. Ça fait mal aux jambes aussi, c'est clair.
Je suis bien dans l'effort encore, je gère mon truc et les sensations sont bonnes, même si globalement je le trouve plus rude déjà que l'an passé, et au niveau du temps de passage je suis déjà bien en retard.

Passé le gros monticule, l'an dernier on continuait à grimper à droite. Cette fois c'est la trace de gauche qu'on enquille. Elle reste de niveau un petit moment avant de redescendre direct vers le lotissement.
Sauf que avant le bas, on arrive plein gaz sur un bagnole en travers, de la rubalise, des barrières et tout le bazar pour pas tirer tout droit.
Le type me fait signe de prendre à droite. Bon j'obéie sans discuter, il a pas trop d'humour on dirait 😀.
On s'engouffre dans un sentier qui regrimpe fort. Faut appuyer copieux sur certains passages. C'est pas très long mais c'est rude. Gaillard le Marathon 2013 !

Quand ça bascule, je découvre une nouvelle petite descente excellente. Amusement garanti jusqu'en bas dans ce monotrace. Je suis seul en plus, donc je me prive pas de dévaler au plus rapide.

En bas on retrouve le fameux lotissement et son passage obligé sur la montée en ciment. Je passe bien partout, même sur la fin qui est très technique dans les grosses caillasses en travers. 
Sur les parties hautes, la vue est splendide tout le long, sur la baie de Fréjus.
La mer s'étale à perte de vue, il fait grand bleu, température idéale pour le vtt, paysages magnifiques, mais on en bave quand même.
Y a de la fatigue certes, mais j'ai encore la bonne pêche. Et dans ces parties escarpées, où il faut avoir des jambes encore pour passer, je m'en sors bien.
Et je reviens même sur ma hongroise préférée qui m'avait repassé je sais plus où sur une piste avant le Bougnon certainement. On est sur le même rythme maintenant. Par contre, je me souvenais pas que cette partie était aussi longue et donc rude sur une fin de raid.

On passe au dernier ravito sur la hauteur (je m'arrête pas) avant d'entamer la redescente sur la partie finale vers la plage. Ma compagne de roulage me laisse encore gentiment passer.
On rejoint presto le pont flottant sous la route, le terrain de camping de Saint-Aygulf et enfin la plage apparaît.
Dur dur de rester sur le vélo, mais ça passe presque, sauf avant le pied des marches pour remonter dans le village.
Je me refait doubler ensuite par la dame qui décidément ne lâche jamais l'affaire. Sur les parties roulantes je suis un peu largué même si elle me motive à pas lâcher non plus. Difficile de rester dans la roue.

On attaque le sentier des Douaniers et je repasse devant après les marches. Trop fort ce Roc.
J'ai de bonnes jambes et une meilleure technique.
Y a deux touristes en vtt et en galère sur ce passage. Ils ont du en entendre de belles siffler dans les oreilles. Bon je ne suis pas gêné par leur promenade, mais y a pas trop de place pour passer s'ils s'arrêtent pas.
Je sors sur la plage où on a carrément les roues dans l'eau cette année. Ça roule mieux sur ce deuxième passage et on peut rester sur le vtt. Les encouragements vont bon train encore.
On grimpe sur la piste cyclable et ensuite c'est à bloc jusqu'à l'arrivée.
Je roule à trente à l'heure tout le long quasiment. Je suis seul c'est bien dommage par contre. Je m'attendais à ce que la petite Eszter revienne, mais je l'ai pas revu.

Pour terminer après la piste cyclable, on repasse la passerelle sur l'Argens, avant de filer traverser le petit canal artificiel et de mettre les dernières forces dans le joli sentier qui borde la base.
On retrouve la prairie là où on l'avait laissé au début pour le sprint final entre les barrières.
Je passe la ligne après 5 heures et 29 minutes. Je me suis arrêté six minutes en tout.
Les chiffres sont nettement plus précis et conforme cette année. Quasiment 83 km pour presque 2500 m de D+.
Pour ma part, je finis 287ème du scratch et 78 de ma catégorie. 
Une épreuve plus rude et plus longue qu'en 2012, mais bien meilleure encore au niveau du parcours, plus joueur, plus technique. 
Je pense que j'étais sur une forme identique.

Restauration basique en attendant les copains qui terminent.
On était six Maillons à faire le Marathon, Guillaume, Alban, Christophe, Jacques, J Luc et moi. Fred et Ludo de Gagnac étaient sur le Master et le Roc d'Azur. Les deux Stéphane, JeanMi et Christian, étaient là en accompagnants supporters, ainsi que les dames qui nous supportent aussi beaucoup faut bien le dire 😀.
Une fois que la troupe est rentrée, direction la tireuse à bière au milieu de la foule, avant de regagner le camping et partir faire la fête en ville avec des prolongements nocturnes très très longs jusqu'au bout de la nuit pour certains.


Le samedi, on consacre la matinée à aller voir le Roc Tandem et le Roc d'Azur Dames. La descente du Fournel est toujours un premier passage spectaculaire au Roc, et ensuite direction la plage pour se faire une idée plus précise des classements.
L'après midi c'est la visite complète et en détail du salon.
C'est plutôt fourni en vélos et matos en tout genre. Y a de quoi y passer quatre heures ou plus à reluquer tout ça et taper la causette.
On passe saluer le stand Caminade bien exposé au regard cette fois, François au rayon TopWheels qui peut vous monter des roues aux petits oignons, et juste à coté, les copains de Band Of Riders qui proposent de superbes maillots ou tee-shirt au design original et stylé. 
Et puis ça y est au fait, j'ai mon maillot BOR qui va arriver sous peu. 
Modèle Templier avec la Croix Occitane. Ça va aller pile poil pour s'habiller à la fin des longues croisades en vtt.
Enfin, on retrouve tout au long des allées et venues, plusieurs connaissances de la région toulousaine ou d'ailleurs, comme Jean-Yves en visite ce jour là ou des copains de la Meije.

Malgré qu'on soit au salon du vtt, un stand vélo de route ne passe pas inaperçu à l'intérieur. C'est celui de CKT.
Le look, l'habillage, le profilé, le débattement et la présentation de certains de leurs cadres ne laissent pas indifférents 😀.

Sinon côté vélos, le 29 pouces est bien présent un peu partout. C'est tentant un semi rigide léger dans cette taille.
Le 27,5 arrive et montre déjà pas mal de versions, et le 26 peine déjà à se débattre au milieu de tout ça.
Bon on verra ce que tout ça donnera par la suite.

La soirée du samedi débute ensuite au Roc Ruelles de Roquebrune pour se finir au bout de la nuit dans une boite de Saint Raphaël plutôt sélect, mais autour d'une très bonne ambiance. Je vous la conseille, c'est la Réserve. On a refait le plein avant d'aller roupiller un peu.


Le dimanche matin direction le Fournel à nouveau pour voir passer les avions.
Tempier et Martinez en tête dans la descente. On peut pas dire qu'ils mataient le paysage ou les charmantes dames qui les encourageaient.
Ça fait pas semblant les premiers dans les descentes, dans les bosses aussi je suppose.
Et c'est le vieux qui gagne. Bravo !
Le départ retour sur Toulouse se fait en fin de matinée.

Alors le Roc, y a les pour,  y a les contres et on aime ou pas. 
Trop cher, machine à fric, ravitos pouraves, c'est ce qu'on entend le plus souvent, mais faut faire avec si on y va.
On y trouve pleins de défaut si on la ramène à sa petite personne, mais pour ma part je me suis régalé à chaque édition, et plus encore maintenant, je le trouve meilleur et quoi qu'on en dise, on y revient quand même. Le succès est grandissant.
Une épreuve de grande, très grande masse comme celle là, ne peut pas vraiment être parfaite et régler les moindres détails, même si certains points doivent s'améliorer.

Les déchets jetés par de nombreux gorets sont une plaie permanente, mais heureusement que l'immense majorité des pratiquants n'est pas comme ça. Et beaucoup de bidons tombés.
La MBF et le Syndicat Mixte du Var œuvre pour nettoyer les sentiers de tous ces détritus.
Le Roc d'Azur du dimanche est devenu énorme et à moins de partir dans la vague une ou la deux à la limite, il est toujours aussi difficile d'exploiter sa forme. C'est même scandaleux que ceux qui jouent la gagne devant soient obligés de doubler des coureurs d'une autre épreuve sur la fin.
Enfin sur les manifestations d'une telle envergure, les bouchons sont inévitables. Mais le Roc reste ouvert à chacun et c'est ce qui a fait son succès. On peut pester contre ceux qui montent pas où qui descendent encore moins, mais chacun à sa place. 
Et pour limiter les bouchons, il faut être affûté et partir devant.

C'était le trentième anniversaire du Roc d'Azur. 
C'était surtout superbe et complet comme weekend.
4 jours de courses avec de plus en plus d'épreuves, c'est un sacré événement.
J'y reviendrait avec plaisir, pas en 2014 je pense, mais dans le futur c'est certain.
Bravo et merci.








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